Jean-Pierre Siméon
Poète, romancier, critique et professeur agrégé de Lettres modernes. Il participe aux comités de rédaction de plusieurs revues, il a dirigé avec Jean-Marie Barnaud la collection Grand fonds de Cheyne Éditeur qui publie depuis près de trente ans ses recueils de poésie. Il a été, jusqu’en 2017, directeur du Printemps des poètes. Depuis 2017, il dirige la collection Poésie/Gallimard. Son œuvre, qui compte une cinquantaine de titres, lui a valu le prix Théophile Briant, 1978, le prix Maurice Scève, 1981, le prix Antonin Artaud, 1984, le prix Guillaume Apollinaire, 1994, le grand prix du Mont Saint-Michel pour l’ensemble de son œuvre, 1998 et le prix Max Jacob, 2006.
Christian Schiaretti l’invite en tant que « poète associé » à la Comédie de Reims. Ils fondent Les Langagières, manifestation autour de la langue et son usage. Ils poursuivent leur collaboration au TNP.
Ses pièces de théâtre : D’entre les morts, Stabat mater furiosa, suivi de Soliloques, La Lune des pauvres, Sermons joyeux, Le Petit Ordinaire (cabaret macabre), Odyssée, dernier chant, Témoins à charge, Le Testament de Vanda, Philoctète, La mort n’est que la mort si l’amour lui survit, Électre, Trois hommes sur un toit, Et ils me cloueront sur le bois, La Boîte, un essai sur le théâtre, Quel théâtre pour aujourd’hui ? et Ce que signifiait Laurent Terzieff sont parus aux Éditions Les Solitaires Intempestifs.
Son essai sur l’insurrection poétique, La poésie sauvera le monde et Les yeux ouverts, propos sur le temps présent, sont parus aux Éditions Le Passeur.
En savoir plus sur son théâtre : Site web Les Solitaires Intempestifs